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#1 Re : Entraide (supérieur) » Approche logico-algébrique vulgarisée des complexes » 24-09-2024 18:33:05
Pour information aux autres lecteurs, c'est de la répétition inutile à laquelle, de plus, j'ai déjà répondu tout de suite.
Pas d'accord, il faut bien lire ce qu'on écrit, j'essaie en plus de montrer à Ernst qu'on peut finir par déchiffrer sa notation tordue, ce qui est à la fois, néanmoins, pénible et inutile vu le contenu.
Par ailleurs les autres lecteurs sont assez grands sans que Reouven n' essaye de déformer leur opinion, plus ou moins moulée sur la sienne...
Ils sont seuls juges, et n'ont pas besoin de commentaires déplacés pour se forger une idée.
Quant à sa soi-disante réponse, c'est aussi sybillin que le reste, si tant est qu' il sache lui-même ce que qu'il a voulu faire...
A.
#2 Re : Entraide (supérieur) » Approche logico-algébrique vulgarisée des complexes » 24-09-2024 17:56:54
Au début, j’ai cru que la présentation allait simplifier les choses, en ce qui me concerne cela n’a pas été le cas, donc j’ai décroché.
Bonsoir,
Ses notations ont un sens ésotérique à première vue, mais je m'y suis fait en essayant de comprendre ce qu'il voulait traduire,
, ce qui heureusement est bien simple en termes algébriques classiques.
Va donc pour la forme, qui à mon sens est une surcouche ( vernis serait plus approprié) symbolique totalement inutile.
Nettement plus problématique est le fond que cette notation symbolise: n'apparaît en effet que la propriété souhaitée, aucunement comment est construit le nouveau nombre à partir du connu, à savoir les entiers, tout en s'autorisant allègrement à l'élever au carré, à lui ajouter un entier ... On est donc en pleine fiction.
D'où les deux seules éventualités possibles que j'ai déjà postées:
- axiome? Superfétatoire comme déjà dit, en admettant même qu'il soit correctement insérable sémantiquement dans la théorie.
- ce n'est pas un théorème non plus, tout au plus un espoir de propriété sur un objet hypothétique : et ca a déjà été fait aussi depuis un ou deux siècles (Bombelli etc)
Dans les deux cas, je n'y vois aucun intérêt.
Moi demain j'imagine un nombre très spécial qui, ajouté à n'importe quel pair, change de parité ( en me gardant bien de le construire ).
Pourquoi ne pas aussi l'écrire avec les notations de Reouven?
Bon courage...
A.
#3 Re : Entraide (supérieur) » Approche logico-algébrique vulgarisée des complexes » 24-09-2024 13:22:21
Bonjour,
Juste pour répondre à Ernst:
Selon moi il y a deux phases distinctes pour rester cohérent.
On peut avoir l'intuition d'un objet mathématiques intéressant, indépendamment de la question de son existence dans le cadre d'une théorie donnée.
Mais pour moi il est clair qu'il faut ensuite valider son existence ( toujours dans le cadre de cette théorie ), sinon on aura supputé un objet fantôme. Autrement dit risquer de réutiliser par la suite un objet inexistant, qui pourra dans la théorie conduire à des inepties.
A priori les algébristes italiens (à ma connaissance) se sont servis d'une sorte de symbole "racine carrée de -1" pour mieux s'en sortir dans des équations à résoudre. Il y a bien fallu un peu plus de théorie et de création effective pour savoir ce qu'on pouvait ou ne pouvait pas faire avec, initialement, un pseudo-objet qui a du perdre son statut de pseudo.
En première on m'avait présenté la trigonométrie en enroulant une ficelle (aussi) sur un cercle unité. Le procédé satisfait l'intuition.
Evidemment à l'époque il n'était pas questions d'évoquer des notions plus solides à la base du sujet pour expliquer son bien-fondé.
Mais elles sont bien là ...
La notation de Reouven n'est pas en soi contradictoire, mais c'est une coquille vide, une façon d'exprimer des propriétés algébriques qu'on peut évidemment exprimer simplement avec les notations naturelles en vigueur ( qu'on a en plus moins besoin de retraduire ).
Libre à chacun d'écrire x f (ou x ~, ou x C, ou... tout ce qu'on peut imaginer) au lieu de f(x), si f est la fonction carrée, mais c'est vraiment inutile en soi, et je passe sur le reste...
Après il me semble sauf erreur qu'on étaie bien aussi la topologie sur des bases solides, une fois passé le stade des ficelles.
Bref, pour conclure, je dirais avec une conviction certaine que le mieux (avis tout personnel ) est d'éviter d'ennuyer des lycéens avec un document qui, outre sa notation tarabiscotée, ne fait que tourner autour du pot, sans rien créer ni inventer.
A.
#4 Re : Entraide (supérieur) » Approche logico-algébrique vulgarisée des complexes » 24-09-2024 11:02:10
Bonjour,
Je n'ai pas non plus corrigé vos fautes grammaticales précédentes "quand à..." écrit avec un d au lieu d'un t etc..., fautes d'accord diverses (infinitif au lieu de participe passé ...) il y avait suffisamment à faire avec les maths, même si visiblement c'est peine perdue.
Je stoppe ces échanges avec vous, vos propos n'ayant (en étant gentil) rien apporté au sujet initial.
Relisez calmement les posts de tous les contributeurs ( très faisable) , et acceptez avec bonne foi les remarques qui vous contredisent,
évidemment c'est le plus difficile (voire impossible dans votre cas), mais aussi le plus formateur.
Bonne journée
A.
#5 Re : Entraide (supérieur) » Approche logico-algébrique vulgarisée des complexes » 24-09-2024 00:27:46
Bonsoir,
Là vous avez sans doute trop ( et dans un sens inadapté) exagéré mon propos, pour ne pas dire supposé un procès d'intention - là encore fruit de vôtre imagination.
J'ai utilisé cet adjectif possessif pour signifier que vous ( et vous seul) supputez librement mais sans aucune preuve l' existence d'un objet, dont vous n'énoncez au final que la propriété qu'il devrait vérifier.
Le terme "doublement" tient au fait que son existence, encore une fois à 100% hypothétique en suivant vôtre démarche, est pure imagination.
Ça enfonce le clou, puisque l'objet sorti d'un chapeau a une bouille justement d'....imaginaire ( i au hasard ?)
C'est donc simplement de vôtre crû, ensuite il faut bien assumer.
Si je décrète qu'il existe un objet numérique non nul si petit que son carré (si cela a un sens) vaut exactement 0, ce ne sera pas un nombre réel, je l'aurai inventé de toutes pièces, vous pourrez dire à bon escient que c'est mon nombre, la différence entre nous c'est que je n'aurai aucun grief contre vous.
A.
#6 Re : Entraide (supérieur) » Approche logico-algébrique vulgarisée des complexes » 23-09-2024 17:30:08
Bonsoir,
C'est pourtant limpide:
Votre nombre (doublement) imaginaire surgissant ex nihilo , on ne peut considérer son existence que comme un axiome.
Et vraiment dans ce cas il sera superflu par rapport à d'autres axiomes qui existent déjà pour montrer correctement son existence.
A
#7 Re : Entraide (supérieur) » Approche logico-algébrique vulgarisée des complexes » 23-09-2024 15:24:50
Bonjour,
Puisque vous n'avez pas saisi le niveau de folklore:
- soit on prend votre définition comme un axiome supplémentaire, puisque vous ne définissez rien.
C'est absolument inutile, puisque sans lui on sais construire i en s'en passant ( et rigoureusement cette fois).
- soit on le prend ( faute de mieux mais c'est pire) comme une construction dans le cadre des axiomes habituels, mais alors là il vaut mieux aller se faire psychanalyser ( ou prendre des options vers l'établissement suggéré par Yoshi, sous réserve d'une assistance de santé à la hauteur, côté mental ) puisque personne n'est dupe que c'est du vent, une fois passée la mauvaise surprise des notations alambiquées...
Ce qui peut apparaître comme une grosse blague pour des gens compétents dans le cadre d'un forum dédié n'est surtout pas à proposer à des lycéens, pour des motifs d'incompréhension bien... compréhensibles et qui feront juste gaspiller leur temps.
A
#8 Re : Entraide (supérieur) » Approche logico-algébrique vulgarisée des complexes » 23-09-2024 14:39:58
Bonjour,
Votre approche est biaisée parce que vous ne spécifiez jamais comment est construit i à partir des nombres déjà connus.
En clair c'est un nombre fantôme dont vous ne faites que spécifier la propriété espérée, et il ne suffit pas d'avoir les yeux de la foi pour qu'un tel objet existe en mathématique.
Dans cet ordre d'idée, ce n'était pas la peine de construire les entiers relatifs à partir des naturels, ni les nombres rationnels à partir des entiers , etc : hélas stipuler juste leurs propriétés n'aurait fait absolument rien avancer, sauf épargner du papier, donc des arbres et de la sueur.
A l'opposé, dire que i=(0,1) dans un contexte précis ou tout autre objet déjà construit antérieurement ( matrices, classe d'équivalence...) est sensé et correspond à une démarche mathématique.
Votre façon de procéder n'est pas une construction, et il ne sert en plus à rien de noyer les choses avec des notations compliquées et inutiles, surtout pour des lycéens.
Autant dire d'emblée que vous aimeriez trouver un naturel "amélioré" dont le carré augmenté de 1 donne 0... Et... cerise sur le gâteau : vous l'utilisez sans l'avoir trouvé!
En résumé une propriété voulue n'est pas une définition (sauf au niveau des axiomes, où les deux notions se confondent, mais manque de chance on n'a pas eu besoin du vôtre pour inventer i, mathématiquement cette fois), autant donc sortir un lapin d'un chapeau avec Gérard Majax.
A.
#9 Re : Entraide (supérieur) » Produit de groupes cycliques (isomorphisme) » 18-09-2024 22:38:14
Bonsoir ,
Sujet déjà posé il y a peu de temps, https://www.bibmath.net/forums/viewtopic.php?id=17366.
A.
#10 Re : Entraide (supérieur) » Algèbre isomorphisme » 16-09-2024 13:05:36
Bonjour,
Vous avez du inverser les valeurs dans l'énoncé...
A mon avis.
A.
#11 Re : Entraide (supérieur) » exemple d'une fonction R-intégrable mais pas réglée » 15-09-2024 23:01:05
Bonsoir,
On a aussi qu'elle est Riemann-intégrable sur [0;1] par exemple.
En effet:
- elle est bornée sur sur ce segment
- l'ensemble des points de discontinuité est {0}, donc négligeable pour la mesure de Lebesgue.
Si la question en arrière-plan est pourquoi cela ne vous saute pas aux yeux graphiquement, c'est une autre histoire.
A.
#12 Re : Entraide (supérieur) » Modulo Pi modulo 2Pi » 11-09-2024 20:57:35
C'est pas plutôt modulo Pi qui implique modulo 2Pi?
Par ailleurs dans mon exemple il ne sont pas diamétralement opposé mais c'est quand même modulo Pi?
Bonsoir,
$\pi$ est-il un multiple entier de $2\pi$ ? Si tel était le cas 1/2 serait un entier...
Alain
#13 Re : Entraide (supérieur) » Modulo Pi modulo 2Pi » 11-09-2024 16:37:59
Bonjour,
Modulo $2\pi$ c'est quand l'écart est un multiple de $2\pi$, autrement dit un multiple pair de $\pi$.
Alain
#14 Re : Entraide (supérieur) » Relation symetrique et transitive, mais non reflexive » 10-09-2024 20:01:55
Bonsoir,
Bonjour,
peut-être la relation « est orthogonale à » car elle n’est pas réflexive puisqu’une droite n’est pas orthogonale à elle-même,elle est symétrique, et transitive.
Si D perpendiculaire à D' et D' perpendiculaire à D" , D et D" sont //, pas vraiment perpendiculaires, ce n'est pas transitif.
La restriction de la relation aux éléments concernés dans une telle relation étant forcément d'équivalence, les relations possédant la propriété demandée revient à l'ajout d' éléments n'ayant aucune relation, c'est donc assez artificiel.
Néanmoins la relation sur la droite réelle "x = y et x >0 " convient, c'est l'égalité sur les positifs non nuls. Aucun négatif n'est en relation avec lui-même.
A.
#15 Re : Entraide (supérieur) » Dérivée de |cos(x)| » 10-09-2024 09:44:11
Bonjour,
Le champ où se ballade x n'étant pas précisé, j'ai tout de même agréé le fait que la propriété concernait les x où l'expression a un sens... donc où l'expression de gauche est dérivable.
C'est tout le problème avec ce genre d'énoncé, où on se demande s'il ne faut pas simplement souligner l'erreur bestiale...
Un prédicat avec une variable non quantifiée induit normalement par convention implicitement de le considérer avec le $\forall $ portant sur cette variable, mais à mon sens encore faut-il que le prédicat ait une signification.
L'intérêt de regarder ensuite du côté des parités est juste d'éviter de s'interroger sur les monotonies par sous-intervalles... et il suffit de voir alors la non nullité de la fonction à droite de l'égalité.
A.
#16 Re : Entraide (supérieur) » Médailles » 10-09-2024 09:23:16
Bonjour,
Prouver l'unicité en se basant uniquement sur l'arithmétique ne semble pas facile.
On reprend donc l'étude en se plaçant dans un cadre plus général au moyen des suites (réelles).
Je masque, au cas où la recherche vous titillerait.
Pour résumer: une valeur de m réelle adaptée permet toujours l'annulation de la suite récurrente à un rang choisi par avance.
Parmi toutes ces suites, seule 36, 30, 24, .... ,0, qui se termine en 6 jours, permet de parler de "nombres de médailles".
Elle correspond au début positif de la suite arithmétique qui a justement servi à déterminer l'expression de toutes les suites (à valeurs entières ou pas).
Une exploitation uniquement arithmétique de la question (notamment en utilisant des congruences), sans passer par cette famille de suites, me laisse perplexe,
je n'ai pas trouvé d'arguments concluants.
A.
#17 Re : Entraide (supérieur) » Médailles » 09-09-2024 21:19:51
Bonsoir,
Eh bien c'est effectivement le cas, je vous rédigerai la preuve proprement demain.
Si on écrit la suite des stocks successifs ( avec même pourquoi pas un stock m initial réel quelconque, imaginer une quantité d'or liquide ;-) , on donne 1 dl d'or + 1/7 etc )
on peut exprimer m ( en scrutant la suite ) en fonction de r afin qu'au rang n = r , précisément le stock soit nul.
On cherche la condition (cns) pour que m soit effectivement un entier. On découvre arithmétiquement et un peu d'analyse que c'est impossible si r > 6, puis que r doit être égal à 6 (on avait déjà vu que c'était aussi de toute façon un multiple de 6 comme des grands).
L'expression de m en fonction de r donne finalement m = 36. C'est la condition nécessaire pour que la question soit soluble.
Si on n'avait pas fait déjà le travail dans nos autres posts, il faudrait évidemment vérifier que la suite obtenue à partir de m=36 est jusqu'à 0 (au rang 6) à valeurs entières positives, sait-on jamais...).
C'est finalement une sorte d'analyse synthèse, indispensable pour l'unicité !
Ouf, si vous en avez d'autres comme ça je suis preneur!
Alain
#18 Re : Entraide (supérieur) » Médailles » 09-09-2024 18:49:49
Bonjour,
De rien. Je vous ai donné une méthode "algorithmique" qui fonctionne (basée sur la simplicité pour un candidat simple à voir) , mais rien ne garantit l'unicité, qui est plus difficile à prouver.
Je regarde ce soir, je vous tiendrait au courant si j' ai bien avancé.
Cordialement,
Alain
#19 Re : Entraide (supérieur) » une limite pathologique !! » 08-09-2024 23:11:37
Bonsoir,
Le lemme de Cesàro permet de se sortir de situations délicates.
Si ça vous intéresse, ce fil était intéressant ( avec une bonne étude de suites au passage ) à ce sujet:
https://www.bibmath.net/forums/viewtopic.php?id=15634
A.
#20 Re : Entraide (supérieur) » une limite pathologique !! » 08-09-2024 22:32:07
Bonsoir,
De rien, avec plaisir. Et bravo pour la bonne orthographe du mathématicien...
A.
#21 Re : Entraide (supérieur) » Médailles » 08-09-2024 22:28:54
Bonsoir,
Au jour 0 (J0) , il y en a m ( inconnu ). On va commencer la distribution le lendemain.
Donc à J1, on retire 1 de m, et de m-1 on prend 1/7 (entier) , donc m-1 = 7q, ainsi on retire q de m-1 = 7q, il reste donc 6q dans le stock, disponible pour J2.
Arrivé à J2 on recommence, un calcul similaire montre qu'on obtient encore comme nouveau stock un multiple de 6, disponible pour J3
Etc...
Le plus simple (et rapide) pour la fin est de dire qu'à la fin le multiple de 6 est ... 6 et qu'on en retire 6, donc ça s'est passé en 6 jours.
On remonte ensuite comme je vous l'ai dit... 6, ..., 24, 30. La veille il y en avait donc 36.
Pour voir si vous avez compris, se donner la même question avec des fractions 1/5.
Bonne nuit
A.
#22 Re : Entraide (supérieur) » une limite pathologique !! » 08-09-2024 19:34:42
Bonsoir,
Alors vous pouvez en principe vous inspirer du théorème de Césaro,et la décalquer avec des intégrales au lieu de sommations discrètes, je ne l'ai pas écrite mais on doit retomber sur ses pieds sauf erreur.
A.
#23 Re : Entraide (supérieur) » Médailles » 08-09-2024 17:33:55
Bonsoir,
Vous pouvez aussi prendre les choses par la fin.
De toute façon après la première action, le stock restant est toujours un multiple de 6.
Donc l'avant-dernier jour il y en a 6 = 6 +7x0, qu'on épuise donc au 6 ième jour,
on remonte un cran avant, il devait y en avoir 5 + 7x1 = 12 , encore un cran avant ça donne 4 + 7x2 ... etc en restant toujours sur des multiples de 6 par pas de 6, jusqu'à la valeur initiale 36 ( valeur au jour 0 si on peut dire, on n'avait encore rien distribué).
Les restes (=J au jour J ) doivent bien décrémenter de 1, avec conjointement des quotients qui s'incrémentent de 1, afin de rester parmi les multiples de 6 ( 7 - 1 = 6) par pas de 6.
C'est peut-être plus clair pour vous comme cela.
A.
#24 Re : Entraide (supérieur) » Médailles » 08-09-2024 15:12:00
Bonjour,
Si vous écrivez les choses à chaque étape, cela va s'éclairer, vous pouvez aussi le voir par récurrence.
A l'étape i, vous avez un multiple de 6, faisant la division euclidienne par 7, à l'étape i+1 regardez ce qui reste dans le stock de médailles.
Bonne soirée
A.
#25 Re : Entraide (supérieur) » une limite pathologique !! » 08-09-2024 14:15:45
Bonjour,
Il l'est sans doute, le dénominateur est équivalent à nl ( théorème de Césaro ).
On peut montrer normalement qu'il en est de même avec le numérateur, au moyen des séries et/ou intervention des opérations somme et intégrale, je pense.
Il y a eu un autre fil sur un sujet quasi-équivalent, auquel Totototo (il me semble ) avait pris part (sauf erreur).
A.