Menteurs!

Il fallait oser le dire!

C'est Nicolas Hulot qui l'a dit...

Lors de la présentation de son « plan climat » le 7 juillet 2017, le ministre de la Transition écologique et solidaire a appelé à une « véritable révolution » dans le secteur automobile. Parmi les annonces réalisées par Nicolas Hulot, la fin des véhicules à motorisation essence et diesel d’ici 2040... Une des mesures phares appliquées en 2018 est la prime à la casse pour les voitures les plus anciennes, les "plus polluantes".
Le 15 octobre, dans le Journal du Dimanche, il soutient très fermement Anne Hidalgo, maire de Paris, pour son interdiction des voies sur berges aux véhicules thermiques. Elle est « très courageuse » dit-il....
Pour Nicolas Hulot, le diesel est un « scandale sanitaire », « je veux pouvoir respirer à pleins poumons sans m’empoisonner » clamait-il dans une pétition adressée par l'intermédiaire de sa fondation à l’ex-ministre de l’environnement Ségolène Royal en 2014.
Pourtant, en décembre 2017, lorsque son patrimoine est révélé par la Haute Autorité pour la Transparence de la Vie Publique, on apprend qu'il possède 6 voitures thermiques! Parmi ces voitures, un 2CV, de plus de 30ans d'âge. Elle ne mériterait pas d'aller à la casse cette voiture polluante?

Source : Le JDD, le Huffington Post, 17 décembre 2017 Votez! 0 vote(s)

Agnès Buzyn
"La France dépense quand même 12 % de son produit intérieur brut en dépenses de santé, c’est beaucoup plus que tous les pays de l’OCDE". Voici ce que déclare Agnès Buzyn à France Info le 9 janvier. Sauf que c'est faux. D'abord, la part du PIB en dépenses de santé n'est que de 11%. ET ce n’est pas « beaucoup plus que tous les pays de l’OCDE », puisque quatre d’entre eux dépensent autant ou plus : la Suède (11 % du PIB également), l’Allemagne (11,3 %), la Suisse (12,4 %) et… les Etats-Unis qui, eux, sont hors de la tendance, avec 17,2 % de leur PIB. Et même si on se réfère à la dépense publique à la charge de la collectivité, la France, avec 8,7%, est derrière le Danemark, la Norvège, le Japon, la Suède et l'Allemagne (9,5% pour ce dernier pays).
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Nicolas Sarkozy
"Les grands leaders du monde viennent de pays qui ne sont pas de grandes démocraties", a déclaré Nicolas Sarkozy lors du forum Abu Dhabi Ideas Weekend, selon les propos rapportés par "The National", un quotidien basé à Abu Dhabi.
"Où vous avez un grand leader, il n'y a pas de populisme", a-t-il aussi poursuivi. "Où est le populisme en Chine ? Où est le populisme ici (à Abu Dhabi) ? Où est le populisme en Russie ? Où est le populisme en Arabie saoudite ? Si les grands leaders quittent la table, les dirigeants populistes viendront et les remplaceront."
C'est évident! Pas d'élection libre, pas de populisme!
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Sébastien Vahaamahina
Extrait d'une interview sur Eurosport : "C’est un peu chiant de perdre. On peut être touché mais chacun le ressent différemment. Après, il ne faut pas oublier que sur les quatre derniers matches, on prend trois fois l’Afrique du Sud et deux fois les All Blacks. Ça peut que nous faire progresser."

On peut donc être très bon rugbyman et être assez moyen en calcul mental!
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Nicolas Sarkozy
Mouammar Kadhafi et Nicolas Sarkozy ne sont pas d'accord sur le contenu de leurs conversations lors de la visite du premier en France fin 2007. D'une part, le dirigeant libyen a assuré que la question des droits de l'homme n'avait pas été évoquée lors des discussions qu'il a eues avec Nicolas Sarkozy, contredisant le président français.
"Nous n'avons pas évoqué, moi et le président Sarkozy, ces sujets", a déclaré le dirigeant libyen dans un entretien accordé à France 2.
Nicolas Sarkozy avait déclaré la veille à la presse : "J'ai dit au président Kadhafi combien il fallait continuer à progresser sur le chemin des droits de l'homme, dans tous ses aspects, tout ce qu'il restait à faire."
Alors, qui dit la vérité???
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Henri Guaino
Au soir de sa défaite au premier tour des législatives de 2017, Henri Guaino multiplie les déclarations fracassantes sur les plateaux, s'en prenant à chaque fois aux électeurs de la 2e circonscription de Paris où il se présentait. Sur BFMtv au soir de sa défaite, il a ainsi déclaré que ses électeurs étaient "à vomir" avant d'annoncer son retrait de la vie politique. Il s'en est plus particulièrement pris "aux bobos qui vivent dans l'entre-soi de leur égoïsme", et puis à "cette bourgeoisie traditionnelle de droite, celle qui va à la messe, qui emmène ses enfants au catéchisme et qui après vote pour un type qui pendant 30 ans s'est arrangé, a triché", visant ainsi François Fillon.
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Richard Ferrand
En pleine tempête concernant un possible conflit d'intérêt entre son poste à la tête des Mutuelles de Bretagne et le fait que ces mutuelles aient signé un contrat immobilier avec la SCI de sa compagne, il déclare «Je ne suis ni marié, ni pacsé. ». Mais un acte officiel atteste du contraire. En février dernier, la SCI de sa compagne, Sandrine Doucen, a procédé à un changement d’actionnariat. Le document précise que Sandrine Doucen a «conclu un pacte civil de solidarité avec Monsieur Richard William Ferrand, suivant acte reçu par Maitre Queinnec, notaire à Brest, le 2 janvier 2014». Un trou de mémoire bien embarrassant pour Richard Ferrand!
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Nicolas Sarkozy
« Systématiquement, pendant mon quinquennat, la France a eu une croissance supérieure à la moyenne de la zone euro » déclare Nicolas Sarkozy lors de l'émission "des paroles et des actes" du 4 février 2016. Euh, je pense qu'il a oublié 2007, 2008 et 2010 (trois années pendant son quinquennat, donc, sur cinq!) où la croissance était inférieure!
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Gaspard Gantzer

À la tête de son propre mouvement «Parisiennes, Parisiens», Gaspard Gantzer assurait dès mars 2019 qu'il ne se rallierait «jamais» à la liste de La République en marche. «Quand je me lance dans une bataille, c'est pour y aller totalement et jusqu'au bout. Il n'y aura ni ralliement, ni rustine apportée aux uns et aux autres», avait-il martelé sur France Inter. Sur Europe 1 en août 2019, le candidat ne disait pas autre chose : «On ira jusqu'au bout, quoi qu'il arrive. Rien ne nous fera dévier de notre route». Puis la semaine du 10 février, il déclarait encore au Figaro : «Qu'il pleuve ou qu'il vente, j'y vais quand même». Mais le jeudi 20 février, voilà qu'il annonce son ralliement à Agnès Buzyn, tête de liste de LREM....

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