Menteurs!

Il fallait oser le dire!

C'est Emmanuel Macron qui l'a dit...

A un moment où certains doutaient encore de sa volonté de se porter candidat à l'élection présidentielle, il déclare : « Les deux grands partis ( NDLR : PS et LR), c'est l'amicale des boulistes. Mais sans l'amitié et sans les boules... »

Source : Le Parisien, 24 septembre 2016 Votez! 1 vote(s)

Philippe Poutou
Le candidat d'extrême-gauche des élections présidentielles de 2012 et 2017 ne porte pas le PS dans son coeur : « Hollande est satisfait de son bilan ; c’est pour cela qu’il le dépose » (phrase prononcée juste après que Hollonde renonce à se représenter).
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Gérard Longuet
Il fallait oser. Gérard Longuet, sénateur LR de la Meuse, a partagé lundi sur Public Sénat son analyse des Paradise Papers, ces révélations sur les réseaux internationaux d'optimisation fiscale et de finance offshore. 350 milliards d'euros qui échappent aux Etats ? Longuet ne voit pas où est le problème et nous l'explique : "Si ces centaines de milliards d’euros ne viennent pas dans les caisses de l’Etat, tant mieux, parce que l’Etat le gaspille assez largement et dépense de l’argent inutilement. Que l'Etat se remette d'abord à vérifier ses dépenses avant de prendre dans l'argent des autres." "Quand on vous prend 80 % à 90 % de vos revenus, c'est normal de défendre les 10 ou 20 % qui restent", s'insurge aussi Gérard Longuet – inventant au passage un nouveau taux d'imposition.
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Jawad Boudaoud
Lors de son procès pour avoir logé les terroristes du 13 novembre 2015, il déclare : "Je suis content d'être jugé en France. Si j'étais aux États-Unis, je serais déjà en tenue orange en train de m'accoupler avec des chiens..."
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Nicolas Sarkozy
Alors qu'on l'interroge sur ses ennuis judiciaires, il déclare : « J’ai été mis en examen, ce sera facile de vérifier, pour le seul délit formel de dépassement du plafond de la campagne. » Nicolas Sarkozy a raison sur un point : il est facile de vérifier. Mais pas dans le sens où il l’espérait. Il a été mis en examen pour « financement illégal de campagne électorale » (article L113-1 du code électoral). Ce motif de mise en examen recoupait cinq faits différents, dont celui d’avoir « recueilli et accepté des fonds en violation du code électoral » et non pas seulement d’avoir « dépassé le plafond des dépenses électorales ». C’est pour ce même motif que le parquet de Paris a requis son renvoi devant un tribunal correctionnel.
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François Fillon
"Il s'agit de provoquer un choc de confiance du même ordre que celui qui avait permis en 1958 d'initier une longue période de prospérité restée dans l'histoire comme les Trentes Glorieuses''. Voici comment le premier ministre François Fillon présentait le "paquet fiscal'' en juin 2007. En février 2008, le moral des ménages français mesuré par l'INSEE n'a jamais été aussi bas depuis vingt ans! Quel choc, en effet! Par ailleurs, les "Trente Glorieuses'' correspondent en France aux années 1945 à 1973 approximativement! Certes, on veut toujours tout ramener à de Gaulle, mais quand même!
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Nicolas Sarkozy
"Si je perds, j'arrête la politique". Voici ce que déclarait Nicolas Sarkozy, au micro de Jean-Jacques Bourdin le 8 mars 2012 sur RMC, lors de la campagne pour l'élection présidentielle. On connait la suite.....
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Christian Estrosi
"90% des mises en examen se terminent en non-lieu". Voici ce que déclare Christian Estrosi en février 2016, une semaine après la mise en examen de Nicolas Sarkozy. Ce chiffre de 90% est complètement fantaisiste! Ainsi, en 2016 nous expliquent les décodeurs du Monde, seules 20 % des personnes mises en examen dans des affaires conclues en 2016 ont bénéficié d’un non-lieu, selon les dernières informations du ministère de la justice, les autres ont été renvoyées devant des tribunaux. En 2016, 22 013 personnes mises en examen (67 %) ont été renvoyées au tribunal correctionnel, où « le taux de relaxe pour les personnes jugées en audience est de 6,4 % », comme le précise le ministère de la justice. 2 300 (7 %) ont été mises en accusation devant la cour d’assises, qui avait un taux d’acquittement de 5,2 % en 2015.
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Laurent Wauquiez

Confronté à la difficulté de soutenir le mouvement des "Gilets jaunes" en décembre 2018 sans aller trop loin, Laurent Wauquiez est parfois obligé de jouer un peu avec la vérité. Ainsi, invité de l’émission « Les 4 Vérités », mercredi 5 décembre sur France 2, alors que la journaliste, Caroline Roux lui a demandé s’il avait « regretté, à un moment, d’avoir enfilé le gilet jaune », Laurent Wauquiez a répondu : « Je n’ai jamais enfilé de gilet jaune. J’ai apporté mon soutien et je ne renie rien de ça. »

Pourtant, une photo prise le 24 novembre au Puy-en-Velay, on le voit très nettement revêtu d'un gilet jaune.

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