Menteurs!

Il fallait oser le dire!

C'est François Bayrou qui l'a dit...

François Bayrou a une image positive de sa famille politique. Ainsi, il déclare en 2011 : "Rassembler les centristes, c'est comme conduire une brouette pleine de grenouilles : elles sautent dans tous les sens".

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Valérie Pécresse
Nous sommes en décembre 2015, la campagne des régionales bat son plein. Dans un débat public avec son adversaire du Front de gauche, Pierre Laurent, Valérie Pécresse serine un de ses arguments de campagne : elle ne touchera pas au tarif unique du passe Navigo qui est, à l’époque, de 70 euros par mois. Deux ans et demi plus tard, l’abonnement mensuel passe à 75,20 euros, le 1er août 2017!
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Lydia Guirous
"La France est le pays européen qui accueille le plus d'étrangers". Voici ce que déclare Lydia Guirous, porte-parole du parti les Républicains, en septembre 2015. C'est complètement faux! ll y a alors 500 000 étrangers de moins en France qu'en Allemagne. Proportionnellement à la population, en France, les étrangers représentent 8,3% de la population totale. C'est loin derrière la Suède, le Luxembourg ou encore l'Estonie. Dans ces pays, plus d'un habitant sur dix vient d'un pays en dehors des frontières de l'Union européenne. Concernant les demandeurs d'asile, c'est l'Allemagne et la Suède qui sont le plus sollicités. Et leur taux de réponse positive (50% en Allemagne, 80% en Suède) est bien supérieure à celui de la France.
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Louis Nicollin
«En Ligue 1, le seul joueur qui m'impressionne, c'est Jérémy Ménez, du PSG. C'est dommage qu'il n'ait rien dans le ciboulot, car il a un Pastore et un Hazard dans chaque jambe.» Louis Nicollin explique en 2012 aux lecteurs de Metro tout le bien qu'il pense de Jérémy Ménez...
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François Bayrou
François Bayrou a une image positive de sa famille politique. Ainsi, il déclare en 2011 : "Rassembler les centristes, c'est comme conduire une brouette pleine de grenouilles : elles sautent dans tous les sens".
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Ségolène Royal

Dans son livre, Ce que je peux enfin vous dire, Ségolène Royal, s’en prend à Libération, et à son directeur de publication, Laurent Joffrin. Page 39 du livre, dans un chapitre consacré au traitement particulier réservé aux femmes en politique, elle écrit, à propos de sa campagne présidentielle perdue en 2007 : «Le pire, c’est qu’à ce moment-là les journaux de gauche censés partager mes valeurs ont été les plus violents : c’est Laurent Joffrin qui en 2007, à un moment crucial de ma campagne, entre les deux tours de l’élection présidentielle, publie dans Libération "La gauche bécassine"».

Ségolène Royal semble avoir des problèmes avec les dates, et aussi avec le contenu. Voici ce que publie Libération pour sa défense, le 2 novembre 2018 : Le directeur de publication de Libé a bien publié un essai, intitulé La gauche bécassine, en février 2007. Où il ne s’en prend pas à la seule Ségolène Royal, mais au Parti socialiste dans son ensemble. Le 21 février 2007, dans un édito publié dans Libé, il évoque d’ailleurs cette expression, mais pour dénoncer le fait que Ségolène Royal en soit affublée lors de la campagne : «S’il y a une bécassine, c’est la vieille gauche étatiste, dépensière, irréaliste et «européolâtre». Royal fait appel à la responsabilité, elle fustige l’assistanat, elle veut une réforme de l’Etat. Socialisme libéral? Blairisme? Non. Mendésisme au féminin, mitterrandisme moralisé, jospinisme décoincé. Le dépassement, en fait, de l’antique distinction entre première et deuxième gauche. Ce n’est pas la jeune Ségolène qui tire la gauche vers le bas. C’est la vieille gauche qui plombe la candidate nouvelle. Difficile de danser le rock avec des éléphants».

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Thierry Ardisson
Thierry Ardisson est coutumier des vacheries sur ses petits camarades. Voici ce qu'il déclare par exemple en juin 2017 au magazine Télé Star : «C’est un mercato agité comme on les aime. Au passage, je constate qu’A­les­san­dra Sublet est sortie du jeu. J’avais malheu­reu­se­ment raison de dire à l’époque qu’elle n’avait rien à faire sur France 5, la chaîne de la culture et de la connais­sance. Elle avait répondu que j’étais vieux, jaloux, en fin de carrière. Bien vu» ! Cinglant, non?
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François Fillon
Au directeur de la rédaction d'Europe 1, Benoît Duquesne, qui lui demande s'il n'a pas envie d'aller lui-même sur le terrain, François Fillon répond en novembre 2007, alors qu'il est premier ministre : "La réponse, elle est double. Une fois sur deux, j'ai envie d'y aller moi-même et c'est trop tard, ce qui était le cas des pêcheurs". "Et puis souvent, le problème c'est que lui, il ne veut pas", ajoute-t-il à propos du chef de l'Etat. On s'entend bien au sommet de l'Etat!
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Claire O'Petit
"Je vais me la faire!". Voici la phrase lancée par Claire O'Petit à l'encontre de Aurore Bergé, pourtant membre du même groupe politique qu'elle, en août 2017 dans le magazine Society. La raison de ce courroux remonte aux reproches faits par Claire O'Petit à Richard Ferrand, pour sa gestion (jugée "défaillante") des premiers jours du groupe "La République en Marche" à l'Assemblée Nationale. Aurore Bergé avait alors recadré Claire O'Petit en ces termes : "Ce qui n’est pas à la hauteur, c’est de faire des aventures personnelles pour faire quelques médias. Moi, je suis plutôt plus sévère avec Claire O’Petit. C’est quelqu’un que j’apprécie humainement et personnellement. Elle peut dire ce qu’elle pense. Mais moi, je pense que ce qui a en grande partie tué le précédent quinquennat, c’est ceux qui ont été appelés les 'frondeurs'". Un recadrage apprécié par l'intéréssée, donc!
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