Menteurs!

Il fallait oser le dire!

C'est Nicolas Sarkozy qui l'a dit...

Interrogé par l'Express, daté du 15 février 2007, Nicolas Sarkozy déclare : "Augmenter la redevance, sûrement pas. (…) En même temps, on ne peut pas être exigeant à l'égard de l'audiovisuel public et le laisser dans un état chronique de sous-financement. Je préfère qu'il y ait un peu plus de publicité sur les chaînes publiques plutôt que ces chaînes n'aient pas assez de moyens pour financer beaucoup de programmes de qualité."
Le 5 janvier 2009, alors que Nicolas Sarkozy est président de la République, la publicité est supprimée après 20H sur les chaines publiques. Il n'y que les imbéciles qui ne changent pas d'avis!

Source : L'Express, 15 février 2007 Votez! 0 vote(s)

Richard Ferrand
En pleine tempête concernant un possible conflit d'intérêt entre son poste à la tête des Mutuelles de Bretagne et le fait que ces mutuelles aient signé un contrat immobilier avec la SCI de sa compagne, il déclare «Je ne suis ni marié, ni pacsé. ». Mais un acte officiel atteste du contraire. En février dernier, la SCI de sa compagne, Sandrine Doucen, a procédé à un changement d’actionnariat. Le document précise que Sandrine Doucen a «conclu un pacte civil de solidarité avec Monsieur Richard William Ferrand, suivant acte reçu par Maitre Queinnec, notaire à Brest, le 2 janvier 2014». Un trou de mémoire bien embarrassant pour Richard Ferrand!
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Jean-Christophe Lagarde
Lors de l'affaire "Fillon", ce bon mot de Jean-Christophe Lagarde a fait le tour de l'Assemblée Nationale : "Fillon, c'est l'inspecteur Columbo : il parle toujours de sa femme, mais on ne la voit jamais".
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Thierry Ardisson
Thierry Ardisson est coutumier des vacheries sur ses petits camarades. Voici ce qu'il déclare par exemple en juin 2017 au magazine Télé Star : «C’est un mercato agité comme on les aime. Au passage, je constate qu’A­les­san­dra Sublet est sortie du jeu. J’avais malheu­reu­se­ment raison de dire à l’époque qu’elle n’avait rien à faire sur France 5, la chaîne de la culture et de la connais­sance. Elle avait répondu que j’étais vieux, jaloux, en fin de carrière. Bien vu» ! Cinglant, non?
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Jordan Bardella
"Il y a 30 ou 40 ans, le voile n'existait pas en France." Voici ce que déclare Jordan Bardella le vendredi 25 octobre 2019 dans Bourdin Direct, sur BFM TV et RMC. Pourtant, 30 ans avant 2019, nous sommes en 1989, et ce sont les premières affaires du port du foulard à l'école (par exemple, au collège Gabriel-Havez de Creil).
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Nicolas Hulot
A propos de la Présidentielle, il déclare sur LCI le 2 février 2017 : "J'ai refusé d'être candidat car j'avais peur d'être au second tour". Etonnant le candidat qui aurait peur d'être élu!
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Edouard Philippe
Edouard Philippe n'a rien perdu de son sens de l'humour après sa nomination comme Premier Ministre : selon cet échange rapporté par un visiteur, Matignon, assurait le Premier ministre, « n'a rien d'un enfer ». « Pourtant tout y remonte ? » insistait le visiteur. « Non, pas tout. Mais toutes les emmerdes, oui » a rétorqué Philippe. Cette phrase a valu à Edouard Philippe le prix de l'humour politique 2018/2019!
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Louis Nicollin
«Pedretti a tout commandé sur le terrain, mais celui-là, quand il viendra à Montpellier, on va s'en occuper. Ce type est une petite tarlouze.» Benoît Pedretti en prend pour son grade en 2009. Nicollin avait été condamné à quatre mois d'interdiction de toute fonction officielle, dont deux avec sursis, par le Conseil national de l'éthique.
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Nicolas Sarkozy
Alors qu'on l'interroge sur ses ennuis judiciaires, il déclare : « J’ai été mis en examen, ce sera facile de vérifier, pour le seul délit formel de dépassement du plafond de la campagne. » Nicolas Sarkozy a raison sur un point : il est facile de vérifier. Mais pas dans le sens où il l’espérait. Il a été mis en examen pour « financement illégal de campagne électorale » (article L113-1 du code électoral). Ce motif de mise en examen recoupait cinq faits différents, dont celui d’avoir « recueilli et accepté des fonds en violation du code électoral » et non pas seulement d’avoir « dépassé le plafond des dépenses électorales ». C’est pour ce même motif que le parquet de Paris a requis son renvoi devant un tribunal correctionnel.
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