Il fallait oser le dire!
C'est Jordan Bardella qui l'a dit...
"Il y a 30 ou 40 ans, le voile n'existait pas en France." Voici ce que déclare Jordan Bardella le vendredi 25 octobre 2019 dans Bourdin Direct, sur BFM TV et RMC. Pourtant, 30 ans avant 2019, nous sommes en 1989, et ce sont les premières affaires du port du foulard à l'école (par exemple, au collège Gabriel-Havez de Creil).
Source : BFM TV et Wikipedia Votez! 19 vote(s)

Confronté au premier ministre Edouard Philippe dans l'Emission Politique, Laurent Wauquiez déclare : « C’est vous qui décidez cette année de donner 80 000 titres de migrants économiques, alors même que notre pays connaît ce niveau de chômage. » Mais les chiffres du ministère de l'intérieur sont formels : ce sont 27 209 titres de séjour accordés à titre économique en 2017.


* en octobre 2016, dans l'émission politique sur France 2, il déclare : "Je ne serais pas candidat à l'élection présidentielle si j'étais mis en examen, je ne changerai pas de discours".
* le 26 janvier 2017, dans le journal de TF1, il réaffirme : "Il y a une seule chose qui m'empêcherait d'être candidat, c'est si mon honneur était atteint, si j'étais mis en examen".
Le 1er mars, dans une conférence de presse, il déclare pourtant : "Je serai convoqué le 15 mars en vue d'une mise en examen [...] Je ne me retirerai pas [...] Oui, je serai candidat à la Présidence de la République".


Voici ce qu'en dit France Info le même jour : l faut d'abord distinguer gendarmes et policiers, qui n'ont pas les mêmes conditions d'utilisation de leur arme à feu. En tant que militaires, les premiers dépendent du Code de la défense. Code qui définit quatre circonstances précises lors desquels un gendarme peut ouvrir le feu. De leur côté, les policiers sont soumis aux règles du Code pénal sur la légitime défense. Mais dans tous les cas, ils ne doivent pas attendre d'être visés par un tir pour riposter avec leur arme. Un policier n'est pas pénalement responsable s'il "accomplit un acte commandé par la nécessité de la légitime défense d'elle-même ou d'autrui" "devant une atteinte injustifiée". Pour les gendarmes, le texte est encore plus précis puisqu'ils peuvent "déployer la force armée lorsque des violences ou des voies de fait sont exercées contre eux ou lorsqu'ils sont menacés par des individus armés". Par ailleurs, depuis juin dernier, policiers et gendarmes peuvent utiliser leur arme pour arrêter une attaque terroriste en cours sans être pénalement responsables.


