Menteurs!

Il fallait oser le dire!

C'est Nicolas Sarkozy qui l'a dit...

"Si je perds, j'arrête la politique". Voici ce que déclarait Nicolas Sarkozy, au micro de Jean-Jacques Bourdin le 8 mars 2012 sur RMC, lors de la campagne pour l'élection présidentielle. On connait la suite.....

Source : RMC, le 8 mars 2012 Votez! 0 vote(s)

Nicolas Sarkozy
"Les grands leaders du monde viennent de pays qui ne sont pas de grandes démocraties", a déclaré Nicolas Sarkozy lors du forum Abu Dhabi Ideas Weekend, selon les propos rapportés par "The National", un quotidien basé à Abu Dhabi.
"Où vous avez un grand leader, il n'y a pas de populisme", a-t-il aussi poursuivi. "Où est le populisme en Chine ? Où est le populisme ici (à Abu Dhabi) ? Où est le populisme en Russie ? Où est le populisme en Arabie saoudite ? Si les grands leaders quittent la table, les dirigeants populistes viendront et les remplaceront."
C'est évident! Pas d'élection libre, pas de populisme!
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Christian Estrosi
"90% des mises en examen se terminent en non-lieu". Voici ce que déclare Christian Estrosi en février 2016, une semaine après la mise en examen de Nicolas Sarkozy. Ce chiffre de 90% est complètement fantaisiste! Ainsi, en 2016 nous expliquent les décodeurs du Monde, seules 20 % des personnes mises en examen dans des affaires conclues en 2016 ont bénéficié d’un non-lieu, selon les dernières informations du ministère de la justice, les autres ont été renvoyées devant des tribunaux. En 2016, 22 013 personnes mises en examen (67 %) ont été renvoyées au tribunal correctionnel, où « le taux de relaxe pour les personnes jugées en audience est de 6,4 % », comme le précise le ministère de la justice. 2 300 (7 %) ont été mises en accusation devant la cour d’assises, qui avait un taux d’acquittement de 5,2 % en 2015.
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Manuel Valls
Alors que, en tant que Premier Ministre, il a utilisé six fois l'article 49-3 de la constitution pour faire adopter des textes sans vote (loi Macron et loi travail notamment), il déclare le 15 décembre 2016 sur France Inter : "Je propose une renaissance démocratique car il y a un malaise dans notre démocratie. (…) Je connais les effets pervers du 49.3. Je suis très lucide. Son utilisation est devenue dépassée et apparaît comme brutale. Hors textes budgétaires, je proposerai de supprimer purement et simplement le 49.3.". En mai 2016, fortement attaqué sur l’utilisation répétée du 49.3 sur des textes décriés comme la loi Travail portée par Myriam El Khomri, Manuel Valls expliquait que cet outil constitutionnel était "tout l’inverse d’un passage en force" et que c’était "un acte qui est démocratique". Mais aujourd'hui, il semble avoir changé d'avis et ne le voit plus ainsi.
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Nicolas Sarkozy
Après son élection à la Présidence de la Répubique, Nicolas Sarkozy aurait déclaré selon le monde : "Je vais me retirer, sans doute dans un monastère, pour habiter la fonction, prendre la mesure de la gravité des charges qui pèsent désormais sur ses épaules". Drôle de monastère le yacht de Bolloré!
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Agnès Buzyn
"La France dépense quand même 12 % de son produit intérieur brut en dépenses de santé, c’est beaucoup plus que tous les pays de l’OCDE". Voici ce que déclare Agnès Buzyn à France Info le 9 janvier. Sauf que c'est faux. D'abord, la part du PIB en dépenses de santé n'est que de 11%. ET ce n’est pas « beaucoup plus que tous les pays de l’OCDE », puisque quatre d’entre eux dépensent autant ou plus : la Suède (11 % du PIB également), l’Allemagne (11,3 %), la Suisse (12,4 %) et… les Etats-Unis qui, eux, sont hors de la tendance, avec 17,2 % de leur PIB. Et même si on se réfère à la dépense publique à la charge de la collectivité, la France, avec 8,7%, est derrière le Danemark, la Norvège, le Japon, la Suède et l'Allemagne (9,5% pour ce dernier pays).
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Louis Nicollin
En octobre 2007,Rolland Courbis, alors entraîneur du club de Montpellier, est condamné dans l'affaire des transferts de l'OM. Réaction de son président, Louis Nicollin : "Je m'en bas les couilles complet, s'il me fait monter en première division, hein. Bien sûr, s'il vendait de la drogue ou violait les petites filles, ça m'emmerderait.... Ça, j'accepterais pas. Mais pour des conneries pareilles"
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Emmanuel Macron
A un moment où certains doutaient encore de sa volonté de se porter candidat à l'élection présidentielle, il déclare : « Les deux grands partis ( NDLR : PS et LR), c'est l'amicale des boulistes. Mais sans l'amitié et sans les boules... »
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Claire O'Petit
"Je vais me la faire!". Voici la phrase lancée par Claire O'Petit à l'encontre de Aurore Bergé, pourtant membre du même groupe politique qu'elle, en août 2017 dans le magazine Society. La raison de ce courroux remonte aux reproches faits par Claire O'Petit à Richard Ferrand, pour sa gestion (jugée "défaillante") des premiers jours du groupe "La République en Marche" à l'Assemblée Nationale. Aurore Bergé avait alors recadré Claire O'Petit en ces termes : "Ce qui n’est pas à la hauteur, c’est de faire des aventures personnelles pour faire quelques médias. Moi, je suis plutôt plus sévère avec Claire O’Petit. C’est quelqu’un que j’apprécie humainement et personnellement. Elle peut dire ce qu’elle pense. Mais moi, je pense que ce qui a en grande partie tué le précédent quinquennat, c’est ceux qui ont été appelés les 'frondeurs'". Un recadrage apprécié par l'intéréssée, donc!
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