Menteurs!

Il fallait oser le dire!

C'est Bruno Le Maire qui l'a dit...

En réponse à une intervention de Sira Sylla (LREM) sur le soutien aux victimes des inondations lors des questions au gouvernement, le ministre de l'Economie Bruno Le Mairea d'abord exprimé sa «solidarité», avant de lancer: «nous sommes en train de recueillir toutes les demandes avec le ministre de l'Intérieur Christophe Colomb». Après des rires dans l'hémicycle déclenchés par ce lapsus et un tonitruant «Gérard» fusant sur les bancs, le ministre a rebondi: «laissez moi reconnaître à Gérard Collomb la lucidité d'avoir découvert le Nouveau monde!», allusion au «nouveau monde», l'un des slogans des partisans d'Emmanuel Macron.

Source : 20 minutes, 7 février 2018 Votez! 1 vote(s)

Manuel Valls
Concurrent à la primaire de la gauche en 2017, Manuel Valls signe et accepte l'engagement suivant : « Je m’engage à soutenir publiquement le-la candidat-e qui sera désigné-e à l’issue des élections des Primaires citoyennes et à m’engager dans sa campagne. » Pourtant, le 29 mars, il annonce son soutien à Emmanuel Macron, et non à Benoit Hamon, vainqueur de la primaire. Bien sûr, il a justifié ce non-respect de son engagement!
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François Hollande
Lors du débat de l'entre deux tours, lors de l'élection présidentielle, lors de sa fameuse tirade "Moi Président", il déclare : "Moi président de la République, les ministres ne pourront pas cumuler leur fonction avec un mandat local, parce que je considère qu’ils devraient se consacrer pleinement à leur tâche" En 2015, Jean-Yves Le Drian cumule les fonctions de président de la Région Bretagne et de ministre de la mer.
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Philippe Poutou
Le candidat d'extrême-gauche des élections présidentielles de 2012 et 2017 ne porte pas le PS dans son coeur : « Hollande est satisfait de son bilan ; c’est pour cela qu’il le dépose » (phrase prononcée juste après que Hollonde renonce à se représenter).
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Jean-Michel Blanquer
« Il n'y aura pas de loi Blanquer, j'en serai fier », avait promis le ministre de l'Education en mai 2017. Il s'est visiblement ravisé. En octobre 2018, une loi Blanquer est présenté au Conseil Supérieur de l'Education.
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Laurent Wauquiez

Dimanche 2 décembre 2018 sur TF1, Laurent Wauquiez a déclaré : « Je demande un référendum sur l’ensemble des mesures du gouvernement sur la transition énergétique et notamment les impôts et les taxes. Pourquoi? Parce que le président de la République ne l’avait pas mis dans son programme présidentiel. Il ne l’a jamais expliqué. Personne n’avait compris qu’en votant pour Emmanuel Macron, il y aurait ça. Le geste d’apaisement, c’est de rendre la parole aux Français.»

Le président des Républicains a fait une erreur grossière. Sur le site du mouvement En Marche, les deux mesures ayant entraîné depuis un an une hausse du prix à la pompe sont indiquées dans la rubrique « programme » : la hausse du prix de la tonne carbone (qui a un impact sur le prix du carburant via la TICPE) et le rapprochement de la fiscalité entre le diesel et l’essence.

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Louis Nicollin
«Pedretti a tout commandé sur le terrain, mais celui-là, quand il viendra à Montpellier, on va s'en occuper. Ce type est une petite tarlouze.» Benoît Pedretti en prend pour son grade en 2009. Nicollin avait été condamné à quatre mois d'interdiction de toute fonction officielle, dont deux avec sursis, par le Conseil national de l'éthique.
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Thierry Mariani
Thierry Mariani n'était visiblement pas content de sa défaite aux élections législatives de juin 2017. Voici ce qu'il "tweetait" au soir de sa défaite : "Le raz de marée, balayant les sortants, montre aussi que le "travail de terrain" au service de nos concitoyens n'amène aucune reconnaissance". Un procès en manque de reconnaissance des électeurs donc, mais le travail de terrain devait être quotidien pour celui qui était député de la 11e circonscription des Français de l'étranger, qui s'étend sur une majeure partie de l'Asie, de l'Europe de l'Est et de l'Océanie, soit quelque 51 millions de km² !
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Emmanuel Macron
« Est-ce que quelqu’un peut penser raisonnablement, qu’élu président, il aura une majorité présidentielle uniquement avec son parti ? Moi, je n’y crois pas. Et non seulement ça n’est pas possible, mais ça n’est pas souhaitable parce que ce serait un hold-up », avait lancé Emmanuel Macron, le 28 février 2017, en meeting à Angers. Avec les élections législatives de juin, où son parti récolte de très loin la majorité absolue, il a réussi le casse du siècle!
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