Il fallait oser le dire!
C'est François Fillon qui l'a dit...
Le 3 avril 2017, François Fillon est interrogé par Jean-Jacques Bourdin sur RMC et BFMTV. «Est-ce que vous arrivez à mettre de l'argent de côté ?» lui demande le journaliste. «Moi ? Personnellement, non», lui répond François Fillon, alors candidat Les Républicains (LR) à l'élection présidentielle. On comprend que ce soit difficile pour lui! En 2016, il n'a déclaré que 22900 euros de revenus par mois!
Source : BFMTV, le 3 avril 2017 Votez! 1 vote(s)
Dans son livre, Ce que je peux enfin vous dire, Ségolène Royal, s’en prend à Libération, et à son directeur de publication, Laurent Joffrin. Page 39 du livre, dans un chapitre consacré au traitement particulier réservé aux femmes en politique, elle écrit, à propos de sa campagne présidentielle perdue en 2007 : «Le pire, c’est qu’à ce moment-là les journaux de gauche censés partager mes valeurs ont été les plus violents : c’est Laurent Joffrin qui en 2007, à un moment crucial de ma campagne, entre les deux tours de l’élection présidentielle, publie dans Libération "La gauche bécassine"».
Ségolène Royal semble avoir des problèmes avec les dates, et aussi avec le contenu. Voici ce que publie Libération pour sa défense, le 2 novembre 2018 : Le directeur de publication de Libé a bien publié un essai, intitulé La gauche bécassine, en février 2007. Où il ne s’en prend pas à la seule Ségolène Royal, mais au Parti socialiste dans son ensemble. Le 21 février 2007, dans un édito publié dans Libé, il évoque d’ailleurs cette expression, mais pour dénoncer le fait que Ségolène Royal en soit affublée lors de la campagne : «S’il y a une bécassine, c’est la vieille gauche étatiste, dépensière, irréaliste et «européolâtre». Royal fait appel à la responsabilité, elle fustige l’assistanat, elle veut une réforme de l’Etat. Socialisme libéral? Blairisme? Non. Mendésisme au féminin, mitterrandisme moralisé, jospinisme décoincé. Le dépassement, en fait, de l’antique distinction entre première et deuxième gauche. Ce n’est pas la jeune Ségolène qui tire la gauche vers le bas. C’est la vieille gauche qui plombe la candidate nouvelle. Difficile de danser le rock avec des éléphants».
Même s'il a remporté la Ligue des champions pour la troisième fois de sa carrière et obtenu un nouveau titre de champion d'Espagne avec le Real Madrid en compilant 24 buts depuis le début de l'année, Karim Benzema n'a pointé qu'à la 25e place du Ballon d'Or France Football jeudi soir. S'il ne remet pas en cause le podium de l'édition 2017 qui a couronné Cristiano Ronaldo devant Lionel Messi et Neymar, l'attaquant tricolore s'interroge en revanche sur la logique de la suite du classement.
Dans un Tweet publié dans la nuit de jeudi à vendredi, le joueur toujours indésirable en équipe de France a écrit un tweet qui en dit long sur ses interrogations. «Après les trois premières places pour le Ballon d'Or, c'est un tirage au sort au hasard pour le reste du classement?», a écrit l'ancien lyonnais en accompagnant son message de deux émoji, le premier dubitatif et le second riant.
Tout en humilité, Karim!
Voici ce qu'en dit France Info le même jour : l faut d'abord distinguer gendarmes et policiers, qui n'ont pas les mêmes conditions d'utilisation de leur arme à feu. En tant que militaires, les premiers dépendent du Code de la défense. Code qui définit quatre circonstances précises lors desquels un gendarme peut ouvrir le feu. De leur côté, les policiers sont soumis aux règles du Code pénal sur la légitime défense. Mais dans tous les cas, ils ne doivent pas attendre d'être visés par un tir pour riposter avec leur arme. Un policier n'est pas pénalement responsable s'il "accomplit un acte commandé par la nécessité de la légitime défense d'elle-même ou d'autrui" "devant une atteinte injustifiée". Pour les gendarmes, le texte est encore plus précis puisqu'ils peuvent "déployer la force armée lorsque des violences ou des voies de fait sont exercées contre eux ou lorsqu'ils sont menacés par des individus armés". Par ailleurs, depuis juin dernier, policiers et gendarmes peuvent utiliser leur arme pour arrêter une attaque terroriste en cours sans être pénalement responsables.