Menteurs!

Il fallait oser le dire!

C'est Louis Nicollin qui l'a dit...

Le 17 juin 2009, s’opposant à la diffusion dans les stades d’un clip contre l’homophobie, Louis Nicollin déclare : « Un clip sur le racisme, je suis prêt à le passer dès demain matin. Mais sur l’homophobie… Après ce sera quoi ? Les femmes battues ? » Sans doute se voulait-il conciliant : « Si la mairie me demande de le passer, je le ferai. Mais je préférerais montrer des filles à poil… »

Source : Mediapart, 7 mars 2010 Votez! 1 vote(s)

Jérôme Lavrilleux
Interrogé par France Inter le 27 juin 2018 sur son devenir dans l'affaire Bygmalion, Jérôme Lavrilleux n'a pas ménagé Nicolas Sarkozy : "Je me suis amusé à regarder le nombre de personnes de l'entourage de Nicolas Sarkozy, dans toute sa longue carrière, qui sont mis en examen ou mis en cause dans des affaires multiples et variées", a pointé le député européen. "Je crois qu'on est à plus de 30, 35 personnes. Donc si c'est pas de la radioactivité en politique, ce genre de choses en tout cas, il porte pas chance aux gens qui se dévouent pour lui à un moment ou un autre de sa carrière."
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Gauvain Sers
La chroniqueuse Christine Angot a durement attaqué Gauvain Sers, venu présenter son premier album ce samedi 6 janvier 2018 dans « On n’est pas couché ». Le chanteur lui a répondu dans un texte publié mardi sur Facebook, estimant que la romancière possède « une cervelle de géranium ». Critiqué par Christine Angot notamment pour la "bêtise" de certains textes, il écrit notamment « J’vais pas la mettre sur un album, ça serait donner trop d’importance à sa cervelle de géranium, qu’on paye avec nos redevances. Déjà, j’fais peur à mes pupilles quand j’vois nos deux noms associés ».
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Nicolas Sarkozy
Lors de sa campagne électorale, Nicolas Sarkozy avait promis de publier régulièrement des bulletins de santé s'il était élu. "Quant à mon bulletin de santé, bien sûr je le publierai (...) Je ferai de mon médecin une vedette, je lui promets", avait déclaré le candidat UMP le 2 mars lors d'une édition spéciale du "Grand Journal" de Canal Plus.
On apprend le 9 janvier 2008 qu'il a été opéré le 21 octobre 2007 dans la plus grande discrétion d'un abcès à la gorge résultant d'une angine.
Belle exemple de transparence!
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Edouard Philippe

"Ce n'est pas parce ça souffle qu'il faut changer de cap!" Voici ce que déclarait Edouard Philippe au journal de France 2 le 18 novembre 2018 en pleine crise des "Gilets jaunes". En particulier, il réaffirmait son intention de ne pas surseoir à la mise en place d'une nouvelle taxe sur les carburants. Il rejetait en particulier l'idée d' "un gouvernement qui changerait de pied en permanence, qui zigzaguerait au gré des difficultés".

Quelques mobilisations (et débordements) plus tard, il était obligé le 3 décembre d'annoncer la suspension de l'application pour 6 mois, puis son gel définitif.

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Gérald Darmanin
"Wauquiez a fait allemand en première langue. Il est peut-être normalien mais il n'a rien de normal." Déclaration de Gérald Darmanin sur BFMTV le 20 février 2018.
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Emmanuel Macron
A un moment où certains doutaient encore de sa volonté de se porter candidat à l'élection présidentielle, il déclare : « Les deux grands partis ( NDLR : PS et LR), c'est l'amicale des boulistes. Mais sans l'amitié et sans les boules... »
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Jean-Michel Blanquer

En pleine crise du coronavirus, Jean-Michel Blanquer déclare le jeudi 12 mars 2020 sur France Info que le gouvernement "n'a jamais envisagé la fermeture de toutes les écoles". "Quand vous fermez les écoles de tout un pays, cela signifie que vous paralysez en bonne partie ce pays", a énoncé Jean-Michel Blanquer. "Quand nous fermons, ça pose des problèmes à des infirmières, des médecins, à toutes sortes de personnels de l'hôpital. C'est évidemment quelque chose qui doit être regardé avec beaucoup de finesse pour ne pas être contreproductif".

Le 12 mars 2020 au soir, dans une allocution présidentielle, le président Macron décrétait la fermeture de toutes les écoles à partir du 16 mars.

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Henri Guaino
Au soir de sa défaite au premier tour des législatives de 2017, Henri Guaino multiplie les déclarations fracassantes sur les plateaux, s'en prenant à chaque fois aux électeurs de la 2e circonscription de Paris où il se présentait. Sur BFMtv au soir de sa défaite, il a ainsi déclaré que ses électeurs étaient "à vomir" avant d'annoncer son retrait de la vie politique. Il s'en est plus particulièrement pris "aux bobos qui vivent dans l'entre-soi de leur égoïsme", et puis à "cette bourgeoisie traditionnelle de droite, celle qui va à la messe, qui emmène ses enfants au catéchisme et qui après vote pour un type qui pendant 30 ans s'est arrangé, a triché", visant ainsi François Fillon.
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