Nicolas Sarkozy
"Aujourd'hui, policiers et gendarmes ne peuvent faire usage de leur arme à feu que si on leur tire dessus." Voici ce que déclare Nicolas Sarkozy lors du deuxième débat de la primaire de la droite, le 03 novembre 2016.
Voici ce qu'en dit France Info le même jour :
l faut d'abord distinguer gendarmes et policiers, qui n'ont pas les mêmes conditions d'utilisation de leur arme à feu.
En tant que militaires, les premiers dépendent du Code de la défense. Code qui définit quatre circonstances précises lors desquels un gendarme peut ouvrir le feu. De leur côté, les policiers sont soumis aux règles du Code pénal sur la légitime défense.
Mais dans tous les cas, ils ne doivent pas attendre d'être visés par un tir pour riposter avec leur arme. Un policier n'est pas pénalement responsable s'il "accomplit un acte commandé par la nécessité de la légitime défense d'elle-même ou d'autrui" "devant une atteinte injustifiée".
Pour les gendarmes, le texte est encore plus précis puisqu'ils peuvent "déployer la force armée lorsque des violences ou des voies de fait sont exercées contre eux ou lorsqu'ils sont menacés par des individus armés".
Par ailleurs, depuis juin dernier, policiers et gendarmes peuvent utiliser leur arme pour arrêter une attaque terroriste en cours sans être pénalement responsables.
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François Fillon
Lors d'une interview à RTL, le 16/11/2016, il déclare, parlant de la candidature d'Emmanuel Macron, que "[sa] conviction, c'est que les Français ne confieront pas leur destin à quelqu'un qui n'a pas d'expérience". Ils ont préféré ne pas le confier à quelqu'un qui a fourni un emploi à sa femme sur les deniers publics!
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Nicolas Sarkozy
« Systématiquement, pendant mon quinquennat, la France a eu une croissance supérieure à la moyenne de la zone euro » déclare Nicolas Sarkozy lors de l'émission "des paroles et des actes" du 4 février 2016. Euh, je pense qu'il a oublié 2007, 2008 et 2010 (trois années pendant son quinquennat, donc, sur cinq!) où la croissance était inférieure!
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Manuel Valls
"J'ai toujours été loyal dans ma vie politique, toujours", assurait Manuel Valls le 31 août 2016, au micro de BFMTV, le lendemain de la démission d'Emmanuel
Macron de son gouvernement. Il rappelait à ce dernier ses principes "tout à fait essentiels" à l'engagement politique et promettait pour sa part
de continuer à faire preuve de loyauté en toute circonstance. Patatras! Le 29 mars 2017, contrairement à l'engagement signé lors de sa participation
à la primaire de la gauche et réaffirmé lors de deux débats télévisés, il soutient Emmanuel Macron (si, si...) contre Benoit Hamon, le vainqueur
de la primaire!
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