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Les petites phrases de Karim Benzema

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Ses phrases cultes

Déçu par sa 25e place au classement du Ballon d'Or, l'attaquant français s'est interrogé sur la hiérarchie de l'édition 2017 comparée à «un tirage au sort au hasard» derrière le trio de tête.
Même s'il a remporté la Ligue des champions pour la troisième fois de sa carrière et obtenu un nouveau titre de champion d'Espagne avec le Real Madrid en compilant 24 buts depuis le début de l'année, Karim Benzema n'a pointé qu'à la 25e place du Ballon d'Or France Football jeudi soir. S'il ne remet pas en cause le podium de l'édition 2017 qui a couronné Cristiano Ronaldo devant Lionel Messi et Neymar, l'attaquant tricolore s'interroge en revanche sur la logique de la suite du classement.
Dans un Tweet publié dans la nuit de jeudi à vendredi, le joueur toujours indésirable en équipe de France a écrit un tweet qui en dit long sur ses interrogations. «Après les trois premières places pour le Ballon d'Or, c'est un tirage au sort au hasard pour le reste du classement?», a écrit l'ancien lyonnais en accompagnant son message de deux émoji, le premier dubitatif et le second riant.
Tout en humilité, Karim!

Source : Le Figaro, 8 décembre 2017 Votez! 2 vote(s)

François Baroin
Interrogé sur Europe 1 le 17/11/2016, il avance : "Macron président, je n'y crois pas une seconde". Dommage!
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Florence Parly
"Beaucoup de pays sont confrontés à cette situation : avoir livré des armes à d'autres pays alors que ces armes n'étaient pas censées être utilisées". Voici comment réagissait Florence Parly, ministre des armées, sur France Inter à la polémique sur l'utilisation au Yémen par l'Arabie Saoudite d'armes fabriquées par la France. C'est effectivement une condition courante dans les contrats de fourniture d'armes : "Défense d'utiliser!"
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François Fillon
"Il s'agit de provoquer un choc de confiance du même ordre que celui qui avait permis en 1958 d'initier une longue période de prospérité restée dans l'histoire comme les Trentes Glorieuses''. Voici comment le premier ministre François Fillon présentait le "paquet fiscal'' en juin 2007. En février 2008, le moral des ménages français mesuré par l'INSEE n'a jamais été aussi bas depuis vingt ans! Quel choc, en effet! Par ailleurs, les "Trente Glorieuses'' correspondent en France aux années 1945 à 1973 approximativement! Certes, on veut toujours tout ramener à de Gaulle, mais quand même!
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Nicolas Sarkozy
Lors d'une conférence de presse du 8 janvier 2008, alors qu’on lui rappelait la manière cavalière dont il avait traité son Premier ministre, François Fillon, Nicolas Sarkozy clame : «Je mets au défi quiconque de trouver le mot de "collaborateur" dans une seule de mes déclarations.» Implacable en direct. Sauf que le mot en question a été publié le 22 août 2007, dans le quotidien Sud Ouest. Le Président, tout juste rentré de ses vacances à Wolfeboro, effectuait un tour d’horizon de l’actualité devant la presse régionale. «Le Premier ministre est un collaborateur. Le patron, c’est moi», rappelle-t-il à toutes fins utiles, écrit l’éditorialiste de Sud Ouest.
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Nicolas Sarkozy
"Si nous acceptions le paquet de cigarettes neutre, dans six mois, on vous proposera la bouteille de vin neutre et c'en sera fini de nos appellations, de nos terroirs (...) Vous auriez demain des intégristes qui vous demanderaient la bouteille neutre, puis le fromage neutre", déclaration de Nicolas Sarkozy le mercredi 3 janvier à l'issue d'une table ronde de son parti. Euh...la production de tabac, en France, concerne 200 hectares. Associer le paquet neutre à la défense de nos terroirs, c'est osé!
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François Fillon
Lors d'un déplacement le 8 janvier 2017 au CES de Las Vegas l'un des plus importants salons high-tech au monde, F. Fillon déclare : "J'ai ouvert les télécommunications à la concurrence. Vous pensez qu'il y aurait de l'internet en France si on avait toujours France Telecom avec des fonctionnaires?" Euh.... C'est bien sûr Fillon qui a inventé l'internet!
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Nicolas Sarkozy
En pleine tourmente dans l'affaire libyenne, Nicolas Sarkozy se défend sur le plateau du journal de TF1, alors qu'il est accusé par Ziad Takieddine de s'être fait remis autour du 27 janvier 2007 une valise avec 1,5 millions d'euros : «Il dit, ce sinistre individu [Ziad Takieddine, NDLR], qu'il m'aurait croisé au ministère de l'Intérieur. Il ne dit pas qu'il avait un rendez-vous, il dit qu'il m'aurait croisé au ministère de l'Intérieur et il dit autour du 27 janvier. Il m'a croisé, il a dit "bonjour Monsieur le ministre", il m'a remis une valise avec 1,5 millions d'euros, voyez la crédibilité de la scène... On se croise. Que n'aurait-il fait et qu'aurait-il fait de cette valise s'il ne m'avait pas croisé ? Mais il n'a pas de chance cet escroc, parce que j'ai la preuve que le 27 janvier je n'étais pas à Paris. J'étais en Avignon. Le 28 janvier je n'étais pas à Paris, j'étais en Avignon. Que le 26 janvier, je n'étais pas à Paris, j'étais en Poitou-Charentes. Et que le 25 janvier dans l'après-midi je n'étais pas à Paris, j'étais à Saint-Quentin. Deuxième ignoble mensonge.» Sauf que le site BuzzFeed a vérifié : le 26 janvier au matin, Nicolas Sarkozy était à Paris, puisqu'il a assisté à une cérémonie en hommage à l'Abbé Pierre, des photos de l'AFP en attestent!
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François Fillon
Il a dit et répété tout au long de la campagne des primaires de la droite et du centre, ainsi qu'en janvier et février 2017, qu'il ne serait pas candidat à l'élection présidentielle s'il était mis en examen. Ainsi :
* le 29 aout 2016, sur RMC, il déclare (et il tweete) : "Moi, si j'étais mis en examen, je ne serais pas candidat à l'élection présidentielle. Question de morale."
* en octobre 2016, dans l'émission politique sur France 2, il déclare : "Je ne serais pas candidat à l'élection présidentielle si j'étais mis en examen, je ne changerai pas de discours".
* le 26 janvier 2017, dans le journal de TF1, il réaffirme : "Il y a une seule chose qui m'empêcherait d'être candidat, c'est si mon honneur était atteint, si j'étais mis en examen".
Le 1er mars, dans une conférence de presse, il déclare pourtant : "Je serai convoqué le 15 mars en vue d'une mise en examen [...] Je ne me retirerai pas [...] Oui, je serai candidat à la Présidence de la République".
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