Menteurs!

Il fallait oser le dire!

C'est François Hollande qui l'a dit...

Pendant le débat de l'entre-deux tours de l'élection présidentielle, pendant sa fameuse diatribe "Moi, président", il assène qu'il ne recevrait pas les parlementaires de la majorité s'il était élu Président de la République. Un peu moins d'un an plus tard, le 19 avril 2013, alors devenu président, il a instauré une réunion hebdomadaire des parlementaires de la majorité à l'Élysée.

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Florence Parly
"Beaucoup de pays sont confrontés à cette situation : avoir livré des armes à d'autres pays alors que ces armes n'étaient pas censées être utilisées". Voici comment réagissait Florence Parly, ministre des armées, sur France Inter à la polémique sur l'utilisation au Yémen par l'Arabie Saoudite d'armes fabriquées par la France. C'est effectivement une condition courante dans les contrats de fourniture d'armes : "Défense d'utiliser!"
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Laura Flessel
« Aujourd’hui, plus de 300 000 enfants en situation de handicap ne pratiquent pas de sport à l’école primaire ». Voici ce que déclare Laura Flessel, ministre des sports, lors d'une conférence à Sciences Po le 14 mars 2018. Or il n’y a que 172 145 enfants en situation de handicap scolarisés dans le premier degré!
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Pascal Pavageau
"La méthode Macron, c'est un peu 'je pense donc tu suis'". Déclaration de Pascal Pavageau à Sud Radio le 29 mai 2018.
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Emmanuel Macron
Durant la campagne présidentielle de 2017, un groupe de scientifiques et de responsables associatifs avait adressé un questionnaire à la plupart des candidats, pour connaître leurs positions sur des sujets de santé publique : tabac, alcool, surpoids, usages abusifs des médicaments et sécurité routière. Concernant ce dernier sujet, et plus particulièrement la limitation de vitesses sur les routes secondaires, la réponse d'Emmanuel Macron est alors claire : «En France, les vitesses sont "impaires" : 30, 50, 70, 90, 110, 130, écrit le candidat. Cela participe de leur lisibilité […] Je suis naturellement favorable, dès lors que les conditions de danger l’imposent, à abaisser la vitesse à 70. Mais abaisser en section courante la vitesse à 80 interrogerait l’ensemble de l’édifice.»
Pourtant, le 9 janvier 2018, le gouvernement annonce que la vitesse sur les routes secondaires sera bien abaissée à 80km/h.
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Nicolas Sarkozy
Interviewé par Christine Ockrent dans Soir 3, Nicolas Sarkozy se veut très ferme : "Et s'agissant de l'immigration, je veux aussi que les choses soient claires. Je n'ai jamais été, Christine Ockrent, pour l'immigration zéro''. Et pourtant, dans un de ces discours prononcé en 1991, il avait annoncé ``Il faut déclarer comme objectif le quota zéro d'immigration''. Belle souplesse!
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François Fillon
Lors d'un déplacement le 8 janvier 2017 au CES de Las Vegas l'un des plus importants salons high-tech au monde, F. Fillon déclare : "J'ai ouvert les télécommunications à la concurrence. Vous pensez qu'il y aurait de l'internet en France si on avait toujours France Telecom avec des fonctionnaires?" Euh.... C'est bien sûr Fillon qui a inventé l'internet!
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Manuel Valls
Concurrent à la primaire de la gauche en 2017, Manuel Valls signe et accepte l'engagement suivant : « Je m’engage à soutenir publiquement le-la candidat-e qui sera désigné-e à l’issue des élections des Primaires citoyennes et à m’engager dans sa campagne. » Pourtant, le 29 mars, il annonce son soutien à Emmanuel Macron, et non à Benoit Hamon, vainqueur de la primaire. Bien sûr, il a justifié ce non-respect de son engagement!
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Nicolas Sarkozy
Alors qu'on l'interroge sur ses ennuis judiciaires, il déclare : « J’ai été mis en examen, ce sera facile de vérifier, pour le seul délit formel de dépassement du plafond de la campagne. » Nicolas Sarkozy a raison sur un point : il est facile de vérifier. Mais pas dans le sens où il l’espérait. Il a été mis en examen pour « financement illégal de campagne électorale » (article L113-1 du code électoral). Ce motif de mise en examen recoupait cinq faits différents, dont celui d’avoir « recueilli et accepté des fonds en violation du code électoral » et non pas seulement d’avoir « dépassé le plafond des dépenses électorales ». C’est pour ce même motif que le parquet de Paris a requis son renvoi devant un tribunal correctionnel.
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