Il fallait oser le dire!
C'est Marcel Campion qui l'a dit...
« Moi, j’ai rien contre les homos, d’habitude, je dis les “pédés”. Mais on m’a dit hier qu’il fallait plus que je dise ça. Donc je ne dis plus les “pédés”, je dis les “homos”. J’ai rien contre eux, sauf qu’ils sont un peu pervers ». Voici ce que Marcel Campion dans une vidéo tournée le 27 janvier 2018....
Source : LeJDD, 23 septembre 2018 Votez! 1 vote(s)
Dans son livre, Ce que je peux enfin vous dire, Ségolène Royal, s’en prend à Libération, et à son directeur de publication, Laurent Joffrin. Page 39 du livre, dans un chapitre consacré au traitement particulier réservé aux femmes en politique, elle écrit, à propos de sa campagne présidentielle perdue en 2007 : «Le pire, c’est qu’à ce moment-là les journaux de gauche censés partager mes valeurs ont été les plus violents : c’est Laurent Joffrin qui en 2007, à un moment crucial de ma campagne, entre les deux tours de l’élection présidentielle, publie dans Libération "La gauche bécassine"».
Ségolène Royal semble avoir des problèmes avec les dates, et aussi avec le contenu. Voici ce que publie Libération pour sa défense, le 2 novembre 2018 : Le directeur de publication de Libé a bien publié un essai, intitulé La gauche bécassine, en février 2007. Où il ne s’en prend pas à la seule Ségolène Royal, mais au Parti socialiste dans son ensemble. Le 21 février 2007, dans un édito publié dans Libé, il évoque d’ailleurs cette expression, mais pour dénoncer le fait que Ségolène Royal en soit affublée lors de la campagne : «S’il y a une bécassine, c’est la vieille gauche étatiste, dépensière, irréaliste et «européolâtre». Royal fait appel à la responsabilité, elle fustige l’assistanat, elle veut une réforme de l’Etat. Socialisme libéral? Blairisme? Non. Mendésisme au féminin, mitterrandisme moralisé, jospinisme décoincé. Le dépassement, en fait, de l’antique distinction entre première et deuxième gauche. Ce n’est pas la jeune Ségolène qui tire la gauche vers le bas. C’est la vieille gauche qui plombe la candidate nouvelle. Difficile de danser le rock avec des éléphants».
Le 15 octobre, dans le Journal du Dimanche, il soutient très fermement Anne Hidalgo, maire de Paris, pour son interdiction des voies sur berges aux véhicules thermiques. Elle est « très courageuse » dit-il....
Pour Nicolas Hulot, le diesel est un « scandale sanitaire », « je veux pouvoir respirer à pleins poumons sans m’empoisonner » clamait-il dans une pétition adressée par l'intermédiaire de sa fondation à l’ex-ministre de l’environnement Ségolène Royal en 2014.
Pourtant, en décembre 2017, lorsque son patrimoine est révélé par la Haute Autorité pour la Transparence de la Vie Publique, on apprend qu'il possède 6 voitures thermiques! Parmi ces voitures, un 2CV, de plus de 30ans d'âge. Elle ne mériterait pas d'aller à la casse cette voiture polluante?