Il fallait oser le dire!
C'est Jawad Boudaoud qui l'a dit...
Lors de son procès pour avoir hébergé des terroristes de Daech : "Posé sur mon balcon, avec vue sur le Stade de France, en train de me fumer un gros joint de beuh. J’ai mangé un sandwich escalope boursin – j’en ai même donné un morceau à mon chien – et j’ai regardé un film sur Netflix. Vous pensez vraiment que je savais que je venais de laisser des terroristes dans mon appartement?"
Source : Nice-Matin, 2 février 2018 Votez! 0 vote(s)


Dimanche 2 décembre 2018 sur TF1, Laurent Wauquiez a déclaré : « Je demande un référendum sur l’ensemble des mesures du gouvernement sur la transition énergétique et notamment les impôts et les taxes. Pourquoi? Parce que le président de la République ne l’avait pas mis dans son programme présidentiel. Il ne l’a jamais expliqué. Personne n’avait compris qu’en votant pour Emmanuel Macron, il y aurait ça. Le geste d’apaisement, c’est de rendre la parole aux Français.»
Le président des Républicains a fait une erreur grossière. Sur le site du mouvement En Marche, les deux mesures ayant entraîné depuis un an une hausse du prix à la pompe sont indiquées dans la rubrique « programme » : la hausse du prix de la tonne carbone (qui a un impact sur le prix du carburant via la TICPE) et le rapprochement de la fiscalité entre le diesel et l’essence.



P.A : "Vous roulez dans quelle voiture?"
N.S : "Je roule en R25, c'est la voiture de mon prédecesseur".
P.A : "Et vous allez la garder?"
N.S : "Bien sur, je vais la garder. Il est normal que le budget donne l'exemple"
P.A : "Est-ce que ce n'est pas une mesure gadget de ne pas changer de voiture?" N.S : "P.A. c'est peut-être une mesure symbolique, mais dans la société de communication qui est la nôtre, les symboles, ça sert, à envoyer des signals (sic!) notamment."
En novembre 2007, Nicolas Sarkozy, élu Président depuis quelques mois, est augmenté (s'augmente?= de 172%. Voilà un signal fort!



Dans son livre, Ce que je peux enfin vous dire, Ségolène Royal, s’en prend à Libération, et à son directeur de publication, Laurent Joffrin. Page 39 du livre, dans un chapitre consacré au traitement particulier réservé aux femmes en politique, elle écrit, à propos de sa campagne présidentielle perdue en 2007 : «Le pire, c’est qu’à ce moment-là les journaux de gauche censés partager mes valeurs ont été les plus violents : c’est Laurent Joffrin qui en 2007, à un moment crucial de ma campagne, entre les deux tours de l’élection présidentielle, publie dans Libération "La gauche bécassine"».
Ségolène Royal semble avoir des problèmes avec les dates, et aussi avec le contenu. Voici ce que publie Libération pour sa défense, le 2 novembre 2018 : Le directeur de publication de Libé a bien publié un essai, intitulé La gauche bécassine, en février 2007. Où il ne s’en prend pas à la seule Ségolène Royal, mais au Parti socialiste dans son ensemble. Le 21 février 2007, dans un édito publié dans Libé, il évoque d’ailleurs cette expression, mais pour dénoncer le fait que Ségolène Royal en soit affublée lors de la campagne : «S’il y a une bécassine, c’est la vieille gauche étatiste, dépensière, irréaliste et «européolâtre». Royal fait appel à la responsabilité, elle fustige l’assistanat, elle veut une réforme de l’Etat. Socialisme libéral? Blairisme? Non. Mendésisme au féminin, mitterrandisme moralisé, jospinisme décoincé. Le dépassement, en fait, de l’antique distinction entre première et deuxième gauche. Ce n’est pas la jeune Ségolène qui tire la gauche vers le bas. C’est la vieille gauche qui plombe la candidate nouvelle. Difficile de danser le rock avec des éléphants».