Menteurs!

Biographie de Theresa May

Theresa May, née le 1er octobre 1956 à Eastbourne, est une femme d'État britannique, chef du Parti conservateur et Première ministre du Royaume-Uni depuis 2016. Fille d'un vicaire anglican, elle travaille à la Banque d'Angleterre de 1977 à 1983, puis dans le secteur bancaire privé. Elle exerce sa carrière professionnelle jusqu'à son élection comme députée de la circonscription de Maidenhead, sous les couleurs du Parti conservateur, en 1997. Exerçant différentes responsabilités dans le cabinet fantôme de l'opposition entre 1999 et 2010, elle devient l'une des figures de proue du Parti conservateur, qu'elle préside de 2002 à 2003.

Après la formation d'un gouvernement de coalition associant conservateurs et libéraux-démocrates à la suite des élections législatives de 2010, Theresa May est nommée secrétaire d'État à l'Intérieur, devenant la deuxième femme à exercer cette fonction. À ce poste, elle mène une réforme de la police et adopte des politiques restrictives sur les drogues et l'immigration. Elle est également ministre des Femmes et des Égalités de 2010 à 2012, faisant valoir à ce portefeuille des positions politiques plus progressistes vis-à-vis, par exemple, du mariage homosexuel.

Après le référendum sur l'appartenance du Royaume-Uni à l'Union européenne et la démission du Premier ministre David Cameron, elle est désignée chef du Parti conservateur et devient, le 13 juillet 2016, la seconde femme nommée Première ministre du Royaume-Uni après Margaret Thatcher.

Afficher ses mensonges et phrases cultes

Louis Nicollin
Alors que la pelouse de Marseille vient d’être rendue impraticable après un concert de Madonna, Nicollin s’emporte contre les supporters niçois, suite au prêt du stade de Montpellier aux Marseillais. « Ils m’ont fait rire les supporters niçois à nous dire qu’on était des suceurs de Marseillais. Mais on n’a jamais sucé les Marseillais. D’ailleurs, si on peut les niquer le 19 septembre, je serai heureux.»
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Henri Guaino
Au soir de sa défaite au premier tour des législatives de 2017, Henri Guaino multiplie les déclarations fracassantes sur les plateaux, s'en prenant à chaque fois aux électeurs de la 2e circonscription de Paris où il se présentait. Sur BFMtv au soir de sa défaite, il a ainsi déclaré que ses électeurs étaient "à vomir" avant d'annoncer son retrait de la vie politique. Il s'en est plus particulièrement pris "aux bobos qui vivent dans l'entre-soi de leur égoïsme", et puis à "cette bourgeoisie traditionnelle de droite, celle qui va à la messe, qui emmène ses enfants au catéchisme et qui après vote pour un type qui pendant 30 ans s'est arrangé, a triché", visant ainsi François Fillon.
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François Fillon
Le 2 septembre 2016, il déclare sur le plateau de France Info : "Il y a un problème d'abaissement du niveau d'éthique en politique". Puis, quelques instants plus tard, il ajoute : "Ce que je mets sur le même plan, c'est la manière dont le système médiatico-politique passe sur toutes ces affaires. Tout ça, ça fait la Une pendant trois jours et puis ensuite c'est fini, on n'en parle plus". Voici des paroles dont il aurait dû se rappeler quand il dénonce en février 2017 en plein "Penelopegate" des médias "lyncheurs" et "assassins".
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François Bayrou
«On n'a pas parlé d'intérêts partisans, on n'a pas eu de négociation, on n'a pas passé son temps à échanger. C'est pas : j'achète, tu vends. Rien de tout ça». Voici ce que déclarait François Bayrou le 23 février 2017 après sa rencontre la veille avec Emmanuel Macron afin d'officialiser son soutien. Des propos contredits par une autre déclaration datant du 11 mai 2017, après que la liste de candidats investis par En Marche ait été publiée : "Je convoque le bureau politique du MoDem demain (vendredi) soir en souhaitant que dans les heures qui viennent, un mouvement de raison permette des investitures communes dans toutes les circonscriptions comme Emmanuel Macron et moi en sommes convenus depuis le premier jour de notre entente".
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Jean-Jacques Urvoas
Le 14 octobre 2016, devant le congrès des avocats, Jean-Jacques Urvoas défend avec véhémence le secret judiciaire : "Je crois que ce secret, ce n'est pas un confort, c'est une obligation qui est justifiée par l'intérêt général".
Il a dû repenser à cette phrase le 13 décembre 2017, suite à des révélations du Canard Enchaîné. L'affaire en question est une enquête ouverte pour fraude fiscale, blanchiment et trafic d'influence. Durant l'entre-deux-tours de l'élection présidentielle, Thierry Solère aurait été informé d'une possible nomination au poste de ministre de l'Intérieur en cas de victoire d'Emmanuel Macron face à Marine Le Pen.
Le candidat En Marche "pense que Thierry Solère pourrait prendre le portefeuille de l'Intérieur. Ravi, flatté, mais inquiet, le député des Hauts-de-Seine aimerait savoir où en sont ses déboires. Il s'en ouvre à Jean-Jacques Urvoas, sur le départ", rapporte ainsi l'hebdomadaire satirique.
Le ministre de la Justice, après avoir reçu de ses services une synthèse détaillant les investigations en cours au sujet de Thierry Solère, la transmet à l'intéressé, via la messagerie cryptée Telegram, utilisée notamment par les réseaux terroristes. Mais Thierry Solère conserve une copie du document "dans son propre téléphone", raconte Le Canard enchaîné. Résultat, le 26 juin lors d'une perquisition, les enquêteurs tombent dessus au domicile du député.
Evidemment, ce viol du secret judiciaire était dans l'intérêt général!
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Jawad Boudaoud
Lors de son procès pour avoir hébergé des terroristes de Daech : "Posé sur mon balcon, avec vue sur le Stade de France, en train de me fumer un gros joint de beuh. J’ai mangé un sandwich escalope boursin – j’en ai même donné un morceau à mon chien – et j’ai regardé un film sur Netflix. Vous pensez vraiment que je savais que je venais de laisser des terroristes dans mon appartement?"
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Nicolas Sarkozy
"J'ai toujours été opposé au front républicain" déclare Nicolas Sarkozy lors du 2è débat de la primaire de la droite le 03 novembre 2016. Ah bon? En 2009, lors de l'élection municipale d'Hénin-Beaumont, le parti de Nicolas Sarkozy, alors à l'Elysée, et en accord avec lui, a appelé au vote pour le candidat PS contre le candidat du FN (finalement élu d'ailleurs).
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Pascal Pavageau
"La méthode Macron, c'est un peu 'je pense donc tu suis'". Déclaration de Pascal Pavageau à Sud Radio le 29 mai 2018.
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