Menteurs!

Les petites phrases de Gérard Collomb

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Ses phrases cultes

La question des migrants est délicate pour Gérard Collomb. Le ministre de l'Intérieur a estimé, mercredi 30 mai 2018, que ces derniers faisaient du benchmarking (étude comparative de marché) de l'asile en Europe pour choisir leur destination finale. Une petite phrase prononcée devant le Sénat, relayée par nos confrères de Public Sénat. "Le Sénat aime beaucoup, pour pouvoir trouver ses propres repères, regarder les différentes législations pour voir un peu comment l'on se situe par rapport aux autres pays européens, a commencé l'ancien maire socialiste de Lyon. Puis-je vous dire, monsieur le Président, qu'il n'y a pas que le Sénat qui fait du benchmarking, mais que les migrants aussi font un peu de benchmarking pour regarder les législations à travers l'Europe".

Source : RTL.fr, 30 mai 2018 Votez! 0 vote(s)

"C'est un véritable cauchemar". Ainsi s'est lamenté Gérard Collomb devant un parterre de journalistes en janvier 2017, alors que son salaire de sénateur était réduit à 4000 euros en raison de son absentéisme. Et le même de continuer : «Mes revenus sont plafonnés, je ne touche donc rien en tant que maire de Lyon et président de la métropole, je suis donc tombé à 4000 euros par mois».

Source : Le Point, janvier 2017 Votez! 1 vote(s)

Thierry Mariani
Voici ce que Thierry Mariani publie sur Twitter en novembre 2017 : "#Syrie. Promenade nocturne, en toute sécurité, dans les rues de #Damas...finalement bien plus propres que nos rues de Paris en fin de journée!". C'est vrai qu'en matière de nettoyage, Bachar el Assad possède d'excellents produits chimiques!
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François Fillon
Il a dit et répété tout au long de la campagne des primaires de la droite et du centre, ainsi qu'en janvier et février 2017, qu'il ne serait pas candidat à l'élection présidentielle s'il était mis en examen. Ainsi :
* le 29 aout 2016, sur RMC, il déclare (et il tweete) : "Moi, si j'étais mis en examen, je ne serais pas candidat à l'élection présidentielle. Question de morale."
* en octobre 2016, dans l'émission politique sur France 2, il déclare : "Je ne serais pas candidat à l'élection présidentielle si j'étais mis en examen, je ne changerai pas de discours".
* le 26 janvier 2017, dans le journal de TF1, il réaffirme : "Il y a une seule chose qui m'empêcherait d'être candidat, c'est si mon honneur était atteint, si j'étais mis en examen".
Le 1er mars, dans une conférence de presse, il déclare pourtant : "Je serai convoqué le 15 mars en vue d'une mise en examen [...] Je ne me retirerai pas [...] Oui, je serai candidat à la Présidence de la République".
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Christophe Castaner
Invité de Bourdin direct, sur RMC et BFM TV, le 23 novembre 2017, Christophe Castaner déclare : "Je n'ai jamais utilisé l'écriture inclusive. J'ai même du mal à la lire et je trouve ça un peu "couillon" comme on dit chez moi". Pourtant, sa profession de foi pour son élection à la tête d'En Marche, daté du 8 nov 2017, commence ainsi : "Cher.e.s ami.e.s, Engagé.e.s auprès d’Emmanuel Macron, nous sommes des adhérent.e.s, des parlementaires, des référent.e.s, des élu.e.s de collectivités locales ; nous sommes issu.e.s ....". On a connu de l'écriture moins inclusive!
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Jawad Boudaoud
Lors de son procès pour avoir hébergé des terroristes de Daech, il déclare : "Je suis fini. Je suis fini. Que je mente ou pas. Je suis fini. Je suis fini. Vous comprenez. Fini. Qu’est ce que je vais faire en sortant ? J’avais un projet de faire un nouveau point de vente de cocaïne. Qui va vouloir s’associer avec moi, maintenant?" Un beau projet pour une future remise de peine!!!
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Nicolas Sarkozy
Voici ce que déclare Nicolas Sarkozy durant le journal de TF1, le 15 avril 2007 : ``Sur les 15 pays de l'Union avant l'élargissement, il y en 14 qui ont un ministère de l'immigration. Un seul n'en a pas, c'est nous''. En fait, à cette époque, 6 pays n'ont aucun ministère ou secrétariat d'Etat spécifique!
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Manuel Valls
"J'ai toujours été loyal dans ma vie politique, toujours", assurait Manuel Valls le 31 août 2016, au micro de BFMTV, le lendemain de la démission d'Emmanuel Macron de son gouvernement. Il rappelait à ce dernier ses principes "tout à fait essentiels" à l'engagement politique et promettait pour sa part de continuer à faire preuve de loyauté en toute circonstance. Patatras! Le 29 mars 2017, contrairement à l'engagement signé lors de sa participation à la primaire de la gauche et réaffirmé lors de deux débats télévisés, il soutient Emmanuel Macron (si, si...) contre Benoit Hamon, le vainqueur de la primaire!
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François Baroin
Interrogé sur Europe 1 le 17/11/2016, il avance : "Macron président, je n'y crois pas une seconde". Dommage!
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François Bayrou
«On n'a pas parlé d'intérêts partisans, on n'a pas eu de négociation, on n'a pas passé son temps à échanger. C'est pas : j'achète, tu vends. Rien de tout ça». Voici ce que déclarait François Bayrou le 23 février 2017 après sa rencontre la veille avec Emmanuel Macron afin d'officialiser son soutien. Des propos contredits par une autre déclaration datant du 11 mai 2017, après que la liste de candidats investis par En Marche ait été publiée : "Je convoque le bureau politique du MoDem demain (vendredi) soir en souhaitant que dans les heures qui viennent, un mouvement de raison permette des investitures communes dans toutes les circonscriptions comme Emmanuel Macron et moi en sommes convenus depuis le premier jour de notre entente".
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