$$\newcommand{\mtn}{\mathbb{N}}\newcommand{\mtns}{\mathbb{N}^*}\newcommand{\mtz}{\mathbb{Z}}\newcommand{\mtr}{\mathbb{R}}\newcommand{\mtk}{\mathbb{K}}\newcommand{\mtq}{\mathbb{Q}}\newcommand{\mtc}{\mathbb{C}}\newcommand{\mch}{\mathcal{H}}\newcommand{\mcp}{\mathcal{P}}\newcommand{\mcb}{\mathcal{B}}\newcommand{\mcl}{\mathcal{L}} \newcommand{\mcm}{\mathcal{M}}\newcommand{\mcc}{\mathcal{C}} \newcommand{\mcmn}{\mathcal{M}}\newcommand{\mcmnr}{\mathcal{M}_n(\mtr)} \newcommand{\mcmnk}{\mathcal{M}_n(\mtk)}\newcommand{\mcsn}{\mathcal{S}_n} \newcommand{\mcs}{\mathcal{S}}\newcommand{\mcd}{\mathcal{D}} \newcommand{\mcsns}{\mathcal{S}_n^{++}}\newcommand{\glnk}{GL_n(\mtk)} \newcommand{\mnr}{\mathcal{M}_n(\mtr)}\DeclareMathOperator{\ch}{ch} \DeclareMathOperator{\sh}{sh}\DeclareMathOperator{\th}{th} \DeclareMathOperator{\vect}{vect}\DeclareMathOperator{\card}{card} \DeclareMathOperator{\comat}{comat}\DeclareMathOperator{\imv}{Im} \DeclareMathOperator{\rang}{rg}\DeclareMathOperator{\Fr}{Fr} \DeclareMathOperator{\diam}{diam}\DeclareMathOperator{\supp}{supp} \newcommand{\veps}{\varepsilon}\newcommand{\mcu}{\mathcal{U}} \newcommand{\mcun}{\mcu_n}\newcommand{\dis}{\displaystyle} \newcommand{\croouv}{[\![}\newcommand{\crofer}{]\!]} \newcommand{\rab}{\mathcal{R}(a,b)}\newcommand{\pss}[2]{\langle #1,#2\rangle} $$
Bibm@th

Limites usuelles

Limites de fonctions usuelles
  • Puissances de x : pour $n>0$,
  • Exponentielle :
  • Logarithme :
  • Exponentielle de base a (ax) : Dans ce cas, comme pour la comparaison de fonctions (cf ci-après), le mieux est de repasser à la définition ax=exp(xln (a)), et d'appliquer les théorèmes déjà connus.
Limites données par le taux d'accroissement
Comparaison de fonctions
  En ce qui concerne la croissance comparée des fonctions, il faut retenir que, en plus l'infini, les exponentielles sont plus fortes que n'importe quel puissance de x, et que n'importe quelle puissance positive de x est plus forte que n'importe quel puissance du logarithme. On a donc :
On résume en général ce qui se passe par une échelle de comparaison comme la suivante :
Quand on veut savoir ce qui se passe en 0, ou en moins l'infini, un changement de variables du type Y=1/x ou Y=-x permet dans tous les cas de se ramener au cas de plus l'infini.